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  • lundi, octobre 20, 2008

    BORAT (LARRY CHARLES)

    Hi, me revoici !
    Certes, ce n'est pas pour vous entretenir d'un chef-d'œuvre absolu (sorti en 2006) d'un pur point de vue de cinéphile, mais d'un film qui restera tout de même une grosse régalade pour tous les amateurs d'humour anglais et d'humour juif (les deux meilleurs du monde, comme chacun sait !), écrit et conçu par le fameux Ali G, autrement dit Sacha Baron Cohen, presque aussi célèbre que les Monty Python's pour ses émissions complètement déjantées de la BBC, où il incarnait périodiquement une espèce d'idiot venu du Kazakhstan pour faire un reportage aux USA, afin d'y apprendre la culture et les bonnes manières, ce qui a fini par devenir un film entier :
    D'emblée, ça attaque très très fort (attention, ne laissez pas vos enfants - si vous en avez - lire cet article !) :
    Jusqu'à sa fameuse arrivée aux États-Unis :
    Au cas où... Je vous montre quand même quelques scènes mythiques. La première, celle ou Borat tente de prendre des cours d'humour américain avec un vrai "coach" :
    Et la seconde, qui se passera de tout commentaire, dans la foulée :
    Et maintenant, histoire d'aborder le totalement "unpolitically correct", déjà ceci - surtout de la part d'un juif pratiquant :
    Mais encore plus énorme, cela :
    Je ne suis absolument pas sûr que l'on pourrait tourner un tel film en France (du moins, pas sans que les producteurs ne se traînent 712 procès sur le dos, quoi...) :
    Voire même quand il tente de jouer son fameux rôle d'idiot à la perfection - ce qu'il réussit parfaitement, il faut bien le dire !
    Mais bref... Sans faire un spoiler pour autant, le vrai clou du film réside néanmoins dans cette scène cultissime, où il ose ceci, en plein milieu d'un rodéo texan :
    Essayez d'imaginer sur l'air de l'hymne américain, c'est carrément monstrueux, quoi :
    Sans même parler de la suite : "Kazakhstan est le plus grand exportateur de potassium, tous les autres pays d'Asie centrale n'ont pas autant de potassium que nous". Et tout à l'avenant, en résumé !
    Mais bien sûr, vu la façon dont le film a commencé, ça ne pouvait pas aller en s'améliorant, bien sûr ! Vu qu'au bout d'un moment, au hasard d'une émission de TV, Borat tombe amoureux fou de Pamela Anderson (Alerte à Malibu), qu'il n'a dès lors de cesse de rejoindre en Californie :
    Sinon qu'il la suppose vierge, et qu'au hasard de ses rencontres d'auto-stoppeur, il tombe sur une bande d'allumés qui lui ressortent de vieilles VHS inédites :
    Mais bon, ça ne le décourage pas, finalement... Allez, je suis sympa, je ne vous raconte pas la fin :
    Bon, c'est horrible, c'est affreux, c'est hyper trash, en résumé... Mais j'adore (oui, je sais, je dois avoir mauvais goût) !
    Mais si vous aimez ce genre d'humour, vous serez absolument ravis !

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    8 Comments:

    Anonymous Anonyme said...

    Aaaaaaaaaah, la scène finale avec Pam !! J'étais EXPLOSEE de rire, vraiment. XD
    Il y a qqs passages difficiles dans le film, je trouve, mais dans l'ensemble, qu'est-ce que j'ai ri !! pas sûr qu'on oserait ça en France, effectivement... :-S

    dimanche, 26 octobre, 2008  
    Blogger Vincent said...

    Héhé... Je l'ai encore revu (une fois de plus) ce soir avec un couple d'amis qui ne connaissaient pas, et même chose : ils étaient explosés de rire durant tout le film (et moi aussi, même en en connaissant à l'avance toutes les ficelles, lol) !

    lundi, 27 octobre, 2008  
    Blogger Vincent said...

    Du coup, il faut absolument que tu voies l'autre, ALI G IN DA HOUSE... C'est assez énorme aussi (quoique dans un tout autre genre) !

    lundi, 27 octobre, 2008  
    Anonymous Anonyme said...

    coucou
    je suis désolée de ne pas t'avoir prévenu que je t'avais mis en lien. Je l'ai juste fais car j'aime bien ton blog. Si jamais ça t'embête dis le moi.
    Tu n'es absolument pas obligé de "backlincker" (si c'est bien ce que je pense).
    Que tu sois venu faire un coucou c'est déjà très gentil.

    http://justarrived.canalblog.com/

    mardi, 28 octobre, 2008  
    Anonymous Anonyme said...

    Salut Vincent!

    J'ai tout particulièrement adoré ce film! Il est tordant du début à la fin! Et c'est super! Vraiment génial.

    Concernant nos liens tu fais comme tu le veux. Si tu me donnes la permission de mettre un lien de ton blog sur le mien ça marche!

    @ très bientôt! Al'

    mardi, 13 avril, 2010  
    Blogger Vincent said...

    Salut, Monsieur Al Capitaine !
    Et voilà, je viens de mettre ton lien chez moi... J'espère que ça t'amènera un certain nombre de visiteurs !

    mardi, 13 avril, 2010  
    Anonymous Jean-Paul Desverchère said...

    Le Kazakhstan, délocalise ses excentricités sur d’autres terres, le temps d’un road movie.

    Borat moustachu, couillu à deux doigts d’une physionomie peu appréciée par les temps qui courent, anobli d’une naïveté d’école, découvre en pétoire agonisante le gay, la secte, le rodéo, le sénateur, le présentateur de J.T, la prostituée et la racaille, en essayant à chaque rencontre d’assimiler des tonnes d’informations nouvelles.

    Le coca cola et le Big mac font connaissance avec l’excrément en sac plastique, la misogynie et l’attribut hors norme.

    Transportant dans ses malles un comportement imprévisible rendant la visite de certains lieux à très haut risques.

    Une association temporaire entre la contrainte du politiquement correct et une pilosité hirsute et abondante, chacun entretenant sa différence tout en étant curieux de l’autre.

    Pugilat hôtelier, nudité exhibitionniste et magasin dévasté sont au programme de cette odyssée initiatique à l’intérieur d’une terre immense où chaque concept est différent d’état en état.

    On quitte Jésus pour la main au panier ceci d’une contrée à l’autre.

    Les emblèmes d’une société américaine paralysée par ses différentes institutions sont mises à sac par un individu sans garde-fou lâché en pleine nature.

    Le début du film et la présentation du village de Borat n’est à rater sous aucun prétexte.

    Cà vaut le détour.

    mardi, 19 avril, 2022  
    Blogger Vincent said...

    Oui, tout est exact ! C'est en effet à ne manquer sous aucun prétexte, même si ce film date de 2006...

    mardi, 19 avril, 2022  

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