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  • vendredi, mars 06, 2020

    DIRTY HARRY : A STORY

    Alors voilà...
    C'est la seconde fois que je m'attaque à une liste de cinq films basés sur le même thème (la première étant consacrée aux sept Opus de Freddy), tous inspirés par le fameux inspecteur Harry, qui n'a certes pas existé pour de vrai, mais s'inspire très largement du personnage réel de David Toschi, qui s'est consacré durant de longues années à la poursuite de Zodiaque (que l'on retrouve du reste à la fois dans le premier Dirty Harry de la série, et dans le célèbre Zodiac de David Fincher, tourné en 2007)...
    Je pourrais certes d'emblée vous en dire nettement plus à ce sujet, mais permettez-moi tout d'abord de mentionner les titres (anglais et français) du film, leur date de création, leur réalisateur et leurs acteurs fétiches, et pour finir, l'une de leurs couvertures DVD les plus répandues...
    1) Dirty Harry (en français, L'inspecteur Harry), de 1971, réalisé par Don Siegel, joué par Clint Eastwood :
    2) Magnum Force (en français, Magnum Force), de 1973, réalisé par Ted Post, joué par Clint Eastwood et Hal Holbrook :
    3) The Enforcer (en français, L'inspecteur ne renonce jamais), de 1976, réalisé - si l'on peut dire - par James Fargo, joué par Clint Eastwood et Tyne Daly :
    4) Sudden Impact (en français, Le Retour de l'inspecteur Harry), de 1983, réalisé par Clint Eastwood, joué par Clint Eastwood et Sondra Locke :
    5) The Dead Pool (en français, La dernière Cible), de 1988, réalisé par Buddy Van Horn, joué par Clint Eastwood, Liam Neeson, Patricia Clarkson, et Jim Carrey :
    En quelque sorte, vous disposez là de toute la saison, avec ses exceptionnels épisodes (N°1 et N°4), ses un tout petit peu moins mémorables, mais néanmoins excellents (N°2 et N°5), et son tout dernier, à ne regarder que si vous souhaitez voir la série dans son ensemble (N°3)...

    Sinon, qu'y a-t-il de constant dans presque tous les films destinés à l'inspecteur Harry ?
    1) Celui-ci est toujours joué par le même Clint Eastwood, qui en outre prend également les bâtons du réalisateur dans le film N°4, confiant à sa propre femme (Sondra Locke) un rôle essentiel...
    2) Les scénaristes (et concepteurs de l'histoire) sont pratiquement toujours Harry Julian Fink et Rita M. Fink, sauf dans le N°2, où l'histoire est due à John Milius, et le scénario au même John Milius et à Michael Cimino (la classe, non ?)...
    3) Le musicien est aussi pratiquement toujours le même, le pianiste de jazz Lalo Schifrin (sauf dans le N°3, où la bande est écrite par Jerry Fielding), avec toujours le même thème final, qui à mes oreilles va toujours mieux sonner jusqu'au N°5, où il est joué au bugle...
    4) Enfin, chaque film dure entre 1h29 (le N°5) et 1h58 (le N°2), ce qui n'est pas très long, finalement...

    Maintenant, j'aimerais beaucoup vous parler de chacune des scènes mythiques de tous ces épisodes, qui démarre très fort dans Dirty Harry...
    1) Meilleure preuve avec ce moment incroyable (qui a dû revenir assez cher à l'époque), où le fameux Zodiaque est partiellement immobilisé sur le terrain de football, et où la caméra se recule lentement à l'ombre de la nuit, semblant emmener avec elle le principal criminel du film :
    2) Dans le second Opus, Magnum Force, hormis de très nombreuses scènes basées sur le clan criminel de policiers-motards, la plus belle est sans conteste celle de la fin, où Clint Eastwood se procure enfin l'une de ces motos, et parvient à tous les éliminer - ceci à bord d'un vaste paquebot militaire :
    3) Dans le troisième film, The Enforcer, on s'ennuie par contre beaucoup plus vite, et seul le plan final redonne un peu goût à la projection, tout d'abord avec l'attaque subite de Clint Eastwood à bord d'un bateau :
    Ensuite, avec le destruction impressionnante de la tour centrale, et l'élimination cette fois réussie de l'unique attaquant :
    4) Au cours du déroulement assez mystérieux de Sudden Impact, le fameux quatrième film, on se tient bien des fois en haleine, à juste titre… Mais rien ne peut égaler cette scène finale, où Clint Eastwood apparait en pleine nuit dans le parc d'attraction mystérieux de San Francisco, sublimement filmé, et réglant cette fois-ci définitivement les comptes de son actrice favorite, Sondra Locke :
    5) Enfin, pour terminer avec l'ultime Opus, The Dead Pool, ce superbe clip vidéo organisé par Liam Neeson, et joué par le futur célèbre Jim Carrey :
    Qui se poursuit avec une incroyable poursuite de voitures - grandes et petites -, qui donne toute la mesure à ce qu'a pu représenter Buddy Von Horn aux yeux de Clint Eastwood, dont il a organisé les cascades durant énormément de films :
    Histoire de finir en beauté, j'aimerai vous présenter maintenant la phrase fétiche dite par Clint Eastwood au cours des cinq films, qui certes ne signifiera pas grand chose à ceux qui ne connaissent pas encore l'un de ceux-ci, mais qui parlera de très près aux nombreux initiés par l'insistance avec laquelle elle se répète et revient au cours des épisodes... 
    1) Dirty Harry (L'Inspecteur Harry), de Don Siegel :
    "Il faut te demander : Ai-je de la chance ?"
     2) Magnum Force (Magnum Force), de Ted Post :
    "Le sage doit connaître ses limites"
    3) The Enforcer (L'Inspecteur ne renonce jamais), de James Fargo :
    "Merveilleux !"
    4) Sudden Impact (Le Retour de L'Inspecteur Harry), de Clint Eastwood :
    "Vas-y... Fais-moi plaisir."
    5) The Dead Pool (La Dernière Cible), de Buddy Van Horn :
    "Formidable"
    Sans doute, les phrases du deuxième et du quatrième film apparaissent d'emblée plus convaincantes… Mais c'est à relativiser avec le thème de chacun des Opus, relativement différent, et surtout avec la façon et le ton dont Clint Eastwood les gratifie à chaque fois, inimitable...

    D'ailleurs, est-ce lui qui a été prévu dès le départ, comme l'acteur le mieux approprié à ce rôle ? Et bien, curieusement, non… Il a tout d'abord été question de Paul Newman, dont les droits sont malheureusement rachetés par Frank Sinatra, qui compte lui-même être sur scène… Sauf qu'il tombe immédiatement malade, est contraint à une hospitalisation, et laisse donc sa place à Malpaso Company (la société de production de Clint Eastwood), qui incontestablement, a eu là l'une des plus belles chances de sa vie !

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    samedi, août 10, 2019

    DIRTY HARRY (DON SIEGEL)

    Inspecteur Harry, the first one !
    Et bien sûr – il en va de soi – le premier et le meilleur des cinq, réalisé par le génial Don Siegel en 1971 (quoique… le quatrième Opus de la série, Sudden Impact, dirigé par Eastwood lui-même, se révèle également comme une sorte de petit chef-d’œuvre, en tout cas le seul à pouvoir rivaliser avec cette première version) !
    Don Siegel (auteur également de Coogan's Bluff, de Sierra torride, du très atypique Les Proies, tous trois avec Clint Eatswood, d’ailleurs, et bien sûr du mythique Body Snatchers, le vrai, le premier, en N&B), bien connu pour son sens du cadre, comme le montrent ces deux premières images des génériques (respectivement, Dirty Harry & Magnum Force) :
    Dès sa sortie (il y a exactement cinquante ans !), Dirty Harry a toujours été un film extrêmement controversé, pour une raison bien simple, mais toujours d’actualité : c’est que curieusement, on y attache plus d’importance aux droits des coupables qu’aux droits des victimes. Tout ceci éloquemment résumé dans la scène d’ouverture dans le bureau du maire :
    Certaines personnes diront sans doute qu’il s’agit d’un point de vue plutôt fachiste, partisan de l'auto-défense, etc… Personnellement, déjà, je trouve qu’il s’agit d’un faux débat (quand la justice fait son travail, nul besoin en effet de tels recours), et d’autre part, ça a au moins le mérite d'être honnête, pas comme la fameuse clique d’acteurs de gauche bien connus, toujours en train de crier au loup à l’abri de leurs somptueux 200 m2 du sixième arrondissement…
    Bref, back to Dirty Harry. Au cas où vous ne le sauriez pas encore, il y a dans cette série (tout comme dans Die Hard, par exemple), une sorte de cahier des charges à respecter absolument… Entre autres : 1) Eastwood doit toujours faire équipe avec un équipier dont il n’a aucune envie (du moins au début)…

    2) La scène finale doit toujours se passer face à un plan d’eau…
    3) Le héros doit toujours avoir un gimmick tout le long du film, par exemple : "Do I feel lucky ?" (N°I), "A man’s got to know his limitations" (N°2), "Make my Day" (N°III), "Swell" (N°IV), etc...
    4) Il y a toujours, en général au tout début du film, un hold-up sans aucun rapport avec le reste, mais que Clint réussit (bien sûr !) inévitablement à déjouer, comme dans ce premier Opus (où Albert Popwell apparaît pour la première fois sous un jour un petit peu dépressif, mais qui devrait aller beaucoup mieux, non seulement dans Magnum Force, mais surtout dans les épisodes 3 et 4 de Dirty Harry, où il sera carrément du côté de la police) :
    Comme dit précédemment, Don Siegel – de pair avec Sergio Leone, les deux héros de Clint Eastwood en matière de réalisation – s’est toujours signalé non seulement par ses cadres impeccables, mais aussi particulièrement inventifs. Petit florilège :
    À noter, tout particulièrement, la fabuleuse scène de la remise de la rançon au pied de la croix, avec une alternance de plongées et de contre-plongées absolument hallucinante :
    Evidemment, il cherche quelqu'un :
    Sans même parler de cette non moins hallucinante scène au sein du stade de football, avec ce sublime zoom arrière (probablement à la grue, je suppose) :
    Mais bon, dans un premier temps, ce n'est pas l'issue idéale :
    Alors certes, tout n’est pas absolument parfait dans ce film, à commencer par les vêtements des principaux protagonistes, qui craignent vraiment de la mort de leur race, il faut bien le dire, entre la veste croisée de Clint Eastwood et le costume en vinyle vert de son interlocutrice :
    Mais bon… D’un autre côté, il faut être indulgent, non ? Déjà qu’avec mes Buffalo, je suis limite out, là, alors imaginons tout simplement ce que les gens penseront de nos fringues dans vingt ans… À tous les coups, ça les fera exploser de rire (du moins, je pense, et puis après tout, c’est dans la logique de la mode, finalement) !
    Allez, deux images pour conclure :
    Argh… Il y a des jours où j’aimerais faire ça, de temps en temps, balancer le badge de mon job sans aucun remord ni scrupule...
    Petit P.S, à propos de Don Siegel (cité dans Le Dictionnaire du Cinéma) : "L’un des grands seigneurs de la série B (…). Série B, certes, encore que Siegel ait disposé parfois de budgets importants, en tout cas séries B exemplaires qui conservent leur efficacité en dépit du temps, contrairement à tant de faux chefs-d’œuvre".
    En attendant, sautez tout de suite au second épisode, tourné seulement deux ans après, Magnum Force, et vous verrez à quel point cela peut être passionnant !

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    samedi, décembre 26, 2009

    BODY SNATCHERS (ABEL FERRARA)

    Un vrai spoiler, pour une fois, non ?
    Peu importe, puisque ce film, tourné en 1993 par le très fameux Abel Ferrara, d'après un roman de l'écrivain Jack Finney, avait déjà été porté au cinéma en 1978 par Philip Kaufman, et encore bien avant par le réalisateur Don Siegel en 1956 (l'excellent auteur de l'un des tout premiers films de Clint Eastwood, Dirty Harry), lors d'un film en revanche très réussi en N&B. Disons donc que, plus d'une cinquantaine d'années plus tard, faire un spoiler ne peut guère être bien grave, puisque 90% des gens doivent connaître plus au moins le thème du film par cœur, bien évidemment !
    Meilleure preuve, du reste, c'est que l'article de Wikipédia à ce sujet décrit pratiquement ce film plan par plan, à l'aide d'un texte plutôt très long, comme assez peu souvent... Alors qu'en réalité, son thème est tellement simple que son résumé pourrait finalement s'en tenir à ceci : une certaine forme d'extra-terrestres arrive sur la terre en grand secret, pouvant s'infiltrer dans le cerveau des êtres humains uniquement durant leur sommeil, sinon qu'ensuite, aucun d'entre eux n'a plus de véritable personnalité, tous pensant exactement de la même façon :
    Contrairement aux deux versions précédentes de Philip Kaufman et de Don Siegel, le film se déroule presque entièrement dans le milieu militaire, où se rend tout au début une famille recomposée, avec la très jolie fille d'un premier mariage, le tout jeune fils du second mariage, sa maman et le père, engagé là-bas pour ses compétences médicales et biochimiques :
    Seul acteur encore connu de ce film, un médecin lui aussi très compétent, mais du côté de l'armée :
    Mais oui, bien sûr, le désormais très célèbre Forest Whitaker, dont j'ai déjà parlé plusieurs fois ici (entre autres, au sujet de Bird, Ghost Dog et The Last King of Scotland) :
    Très curieusement, la toute première personne à prendre conscience de l'invasion dévorante de ces extra-terrestres est le plus jeune garçon de la famille, lorsqu'il s'aperçoit qu'à part lui, tous les enfants de l'école (déjà contaminés, donc) font exactement le même dessin :
    Jusqu'à ce que l'on se rende compte, assez rapidement, que ces créatures proviennent de gros œufs extrêmement proche de ceux du film Alien (1979), sinon que l'œuvre initiale de Don Siegel, antérieure de 23 ans, proposait déjà ces mêmes images :
    Alors attention... Le réalisateur Abel Ferrara, fort bien réputé pour ses très nombreux côtés sulfureux (tabac, drogues, alcool, sexe, bref, en quelque sorte une espèce de second Mozart !) n'a en revanche pas pu s'abstenir de montrer son respect envers trois films précédents, à vous de deviner lesquels :
    Bon, en tout premier lieu, Apocalypse Now, bien sûr, de Francis Ford Coppola (1979), avec la mythique scène d'hélicoptères au lever du jour... Ensuite, comme d'ailleurs mentionné dans le dialogue, Top Gun de Tony Scott (1986), le frère du fameux Ridley Scott, et pour finir, une sorte d'immense respect envers l'avant-dernier film de Stanley Kubrick, Full Metal Jacket (1987), qu'il faudra tout de même que je commente l'un de ces jours, n'est-ce pas ?
    Fort heureusement, Abel Ferrara se révèle toujours dans ses films plutôt très doué, esthétiquement parlant :
    Bien sûr, en 1993, il n'existait encore quasiment aucuns effets spéciaux numériques - ou alors, comme sur Abyss de James Cameron, à prix d'or, et ceci se voit nettement par moments :
    N'empêche que certaines scènes se révèlent exactement tout aussi terrifiantes que dans le premier film de Don Siegel, notamment lorsque le plus jeune enfant de la famille prend subitement conscience du fait que sa mère n'est désormais plus sa mère (et je trouve cette actrice, Meg Tilly, que je connaissais pas, extrêmement persuasive dans ce rôle très étrange) :
    Après s'être montrée durant tout le début du film comme une femme très expressive et très communicative, ce changement subit et très brutal de sa personnalité s'avère extrêmement efficace ! Sans parler de cette fausse scène de cul également assez traumatisante avec son mari (genre de plan que le fameux obsédé Abel Ferrara ne peut pas s'empêcher de placer dans tous ses films, au minimum une fois, fort bien connue dans le tragique Bad Lieutenant, où à ce moment précis, environ un tiers du public quitte généralement la salle de cinéma, tellement ceci s'avère plutôt très dur à supporter !) :
    Tout juste si la jeune fille n'est pas à son tour toute prête à se faire envahir par ces très étranges Aliens (pour tout dire, plutôt très ressemblants à certains films spaghetti, vu le gros manque - à l'époque - de trucages numériques !) :
    Et là, une fois de plus, la mère jouée par l'actrice Meg Tilly apparaît d'un seul coup de la même façon que dans le film initial de Don Siegel, prête à hurler d'une façon très impressionnante, juste pour avertir tous ses collègues extra-terrestres :
    Hurlement qui, à chaque fois, va réunir tous les prétendus collègues humains dévorés par les extra-terrestres pour lutter contre les très rares personnalités restantes (très impressionnant, aussi bien dans le tout premier film que dans celui-ci) :
    Dont certaines ne vont pas hésiter à se livrer au seul acte théoriquement interdit par la majorité des pays du monde (sinon le Japon, qui a toujours cultivé le fameux Harakiri) :
    Dernière petite citation graphique en hommage à Alien (si je ne me trompe pas) :
    En revanche, le film ne se termine pas du tout de la même façon que le tout premier de Don Siegel, dont la fin - montrant des camions chargés d'œufs se rendant en secret dans toutes les grandes villes du pays - s'avérait réellement terrifiante !
    Là, en résumé, c'est une sorte de contraire absolu, quoi... Les très rares personnes vivantes encore humaines quittent la caserne en hélicoptère au dernier moment, et vont en profiter d'une façon plutôt positive pour bombarder tous les camions coupables de ce genre de livraison :
    Très étonnant de la part d'Abel Ferrara, qui d'une manière générale, termine pratiquement tous ses films d'une façon très noire et très pessimiste (notamment les deux dont j'ai déjà parlé ici, The King of New York et The Bad Lieutenant, de vrais chefs d'œuvres, certes, mais pas bien gais, sorry) !
    Voili, voili, voilà... Désolé pour le spoiler (qui n'en est certainement pas un pour 90% des gens), mais je ne pouvais pas parler du film autrement ! Du reste, peu importe : car j'ai en gros dû voir le premier Alien environ 300 fois, mais peu importe que je connaisse quasiment par cœur l'endroit précis des scènes traumatisantes, elles me font vraiment sauter à chaque fois, quoi...
    Alors, juste histoire de me faire pardonner, un plan du film qui m'a relativement amusé, celui où même en 1993, on voit la jeune fille déjà complètement accro des fameuses baskets de chez Converse, comme très souvent de nos jours :
    Meilleure preuve : c'est qu'à mon tour, malgré ma mauvaise volonté initiale, j'ai aussi fini par craquer le jour même de Noël !
    J'espère qu'en tout cas, vous aimerez beaucoup ce film (quasiment tout aussi impressionnant que le premier de Don Siegel), au sujet duquel j'ose me prendre à espérer que vous laisserez peut-être un petit commentaire ?
    Autres films du même réalisateur : China GirlKing of New YorkBad LieutenantThe Funeral

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