L'INDEX DE TOUS LES FILMS COMMENTÉS :
  • C'EST ICI !
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL :
  • C'EST LÀ !

  • jeudi, novembre 20, 2025

    COMMENT BIEN VOIR CE SITE ?

    SOYEZ GENTIL DE LAISSER UN PETIT COMMENTAIRE, CE SERAIT VRAIMENT TRÈS SYMPA - VU LE TEMPS QUE J'Y PASSE !

    1) Vous avez beaucoup de temps, et vous cherchez alors LE FILM À VOIR (par réalisateur ou par titre), sachant que vous pourrez très facilement revenir à la première page... Si en outre vous laissez un commentaire, ce sera très bien !

    2) Ou bien vous êtes pressé, et vous vous rendez sur l'un des articles concernant le cinéma mentionnés à droite, sous le titre "Mes Articles récents"...

    Libellés :

    lundi, novembre 10, 2025

    SPACE COWBOYS (CLINT EASTWOOD)

    (A l'origine : 10/08/2023)

    Bien que cette œuvre date de l'an 2000, il est l'une des rares dont j'ai parlé ici, parmi lesquels on retrouve évidemment 2001, A Space Odyssey (Stanley Kubrick, 1968), Contact (Robert Zemeckis, 1997) et Solaris (Steven Soderbergh, 2002).

    Cependant, aucun de ces films ne repose sur des faits réels comme celui de Clint Eastwood, qui rend ainsi hommage aux pionniers de l'aviation moderne, comme il s'en explique : "Nous avions besoin du concours actif de la NASA pour reproduire au mieux les circonstances exactes du lancement. Sa simulation pour les besoins d'un tournage est sans doute encore un peu plus ardue, mais l'agence s'est donnée à fond. Le résultat m'a comblé".

    Tout commence en 1958 avec Francis Corvin (ou Frank) et William Hawkins (ou Hawk) - bien plus jeunes qu'aujourd'hui, et donc pas joués par les mêmes acteurs principaux -, qui s'exposent sans le vouloir à leur ultime vol dans l'espace à bord de Daedalus, où d'ailleurs ils détruisent l'avion :

    Résultat ? La création de la NASA, où le groupe de quatre personnes est provisoirement remplacé par une seule candidate, Mary-Anna - en réalité, juste un chimpanzé qui est bien loin d'avoir les compétences nécessaires :
    Voilà, tout nous est dit sur ce début antérieur, filmé en simple noir et blanc... Il est donc temps de nous replacer à la période d'aujourd'hui, où nous assistons aux grandes explications du général russe Vostov (Rade Serbedjiza) au sujet de son satellite Ikon, face à Bob Gerson (James Cromwell), le directeur de la NASA :
    Mais ces explications ne sont pas du tout convaincantes, et pousse Bob Gerson - malgré le mépris qu'il a pour eux - à faire appel à Franck (Clint Eastwood), que l'on découvre bientôt dans sa maison avec sa femme Barbara (Barbara Babcock), face à Sara Holland (Marcia Gay Harden), ingénieure en chef de la NASA :
    Au début, cela poussera Bob Gerson (James Cromwell), directeur de la NASA, à se montrer quelque peu ironique... Mais Franck saura absolument le convaincre, du moins en apparence :
    C'est là où se met en place le jeu du chat et de la souris entre tous les deux, ce qui donne à partir de ce moment au film une bonne dose d'humour - malheureusement absent de Appolo 13 et de Gravity. Et cela se révèle dès que Franck cherche à revoir ses trois précédents collaborateurs, à commencer par Tank Sullivan (James Garner), actuellement prêtre dans une église... Mais il accepte très vite :
    Ibid pour Jerry O'Neil (Donald Sutherland), concepteur de parcs attractifs pour enfants, et qui n'hésite pas une seule seconde :
    Il en va un peu différemment pour Hawk (Tommy Lee Jones), qui de même qu'au tout début du film, est toujours pilote d'avion, mais à l'air d'en vouloir quelque peu à Franck - et on le comprend :
    Mais passé une première apparence, il s'avère finalement lui aussi convaincu, et c'est ainsi que se reconstitue le fameux groupe :
    On continue avec le même humour, en ce qui concerne les différents examens de leur forme - qui vont du simple physique à des compétitions sportives plus délicates, notamment la course à pied ou un peu d'haltérophilie :
    Mais ce n'est encore rien face à l'entrainement pour la mission, qui se déroulera le lendemain de ce dîner, marqué par l'ironie des jeunes pilotes assez furieux de les voir toujours aptes :
    C'est le moment d'assister à un test de compétence particulièrement délicat entre Franck et Hawk, où ils s'entraînent tous deux à résister le plus possible à leur évanouissement - et là, remercions beaucoup la NASA, qui a offert le maximum possible à Clint Eastwood :
    Beaucoup plus délicat, le test d'atterrissage qui a lieu juste après, mettant toujours en scène Franck et Hawk, mais pourvu en plus de deux jeunes pilotes désireux de se joindre à la mission, Roger Hines (Courtney B. Vance) et Ethan Glance (Loren Dean) :
    Là, d'une façon que l'on ne peut contester - également marquée d'une bonne dose d'humour -, Hawk arrive haut la main à poser l'avion correctement, ce qui surprend profondément les plus haut placés :
    Sommet de leur prestation : la participation en tant qu'invités à l'émission du plus célèbre présentateur de TV (Jay Leno, dans The Tonight Show), où ce dernier se livre comme d'habitude au questions les plus embarrassantes possibles :
    Et ceci a pour effet immédiat de  placer le chat et la souris en tête à tête, Franck se révélant finalement plus fort que Bob Gerson, coincé par le gouvernement de l'état et sa place au sein de la NASA :
    Résultat ? Un peu moins d'humour, mais par contre le véritable décollage de tous les quatre à bord de Daedalus, avec un grand enthousiasme de la salle :
    Ici, le film se dirige vers sa vision la plus pessimiste des choses, observée tout d'abord objectivement par Ethan Glance et Franck :
    Puis de façon bien plus sérieuse par ce dernier, qui découvre alors que le satellite russe est doté de six bombes nucléaires armées, et potentiellement dangereuses pour les USA - ce que savait très bien Bob Gerson, qui a passé son temps à dissimuler ces informations secrètes de la Russie :
    Il en va alors de Hawk pour se rendre lui-même sur les lieux - compte tenu de son cancer mortel au pancréas récemment dévoilé... Ce qui semble surprendre au plus haut point ceux qui sont restés sur terre, à commencer par Eugene Davis (William Devane), directeur de vol aussi puissant que Bob Gerson :
    Cela donne d'abord lieu à une mise en péril stupide du jeune Ethan Glance - superbement représenté sur cette courte vidéo :
    Puis à l'envol final et définitif de Hawk, ceci étant naturellement suivi par la pose assez délicate de Franck sur la terre - ce qu'évidemment, il réussit fort bien à faire !
    Il est certain que revenir à trois au lieu des quatre prévus, ceci n'est pas fort gai... Et l'on découvre tout à la fin Franck et sa femme Barbara en train de parler de Hawk devant leur maison :
    Avec en dernier lieu la vision de Hawk mort sur la lune, avec cette musique géniale Fly me to the Moon, chantée par Frank Sinatra :

    Comme vous le voyez très nettement, il s'agit d'un film parfaitement réussi, tout à la fois entre l'histoire vraie, la dynamique d'une gestion cohérente, et son sens de l'humour irremplaçable - ce qui le rend d'ailleurs si différent des grands classiques dédiés au même sujet.

    Cependant, vous doutez encore fortement de l'authenticité des faits exposés... Je vous conseille en ce cas de vous rendre sur Wikipédia, où vous découvrirez la réelle présence en 1978 du satellite russe Cosmos 954 (renommé Ikon), cause du premier incident spatial nucléaire.

    Sinon, tous les trucages sont absolument parfaits, comme le constate Tommy Lee Jones : "Nous avons utilisé tous les trucs possibles et imaginables. Ces procédés mécaniques, combinés à une abondance de mouvements de caméra, ont "fait la blague" dans 80% des cas. Pour le reste, l'équipe a eu recours aux effets spéciaux numériques d'Industrial Light & Magic, ainsi qu'à des modèles réduits".

    En résumé, ce film est l'un des meilleurs du genre, et il a récolté environ deux fois sa mise initiale de 65 millions de dollars, ce qui le place bien au-delà de ses deux précédents, Les Pleins Pouvoirs et Jugé coupable. J'espère que vous l'apprécierez beaucoup, et que peut-être vous daignerez ainsi laisser un commentaire !

    Autres films du même réalisateur : Play Misty for MeHigh Plains DrifterThe Eiger Sanction, The Outlaw Josey WalesThe Gauntlet, Bronco Billy, FirefoxHonkytonk ManSudden Impact, Pale RiderBirdWhite Hunter, Black HeartThe Rookie, UnforgivenA Perfect WorldThe Bridges of Madison CountyAbsolute PowerMidnight in the Garden of Good and EvilBlood WorkMystic RiverMillion Dollar BabyFlags of Our FathersLetters from Iwo JimaGran TorinoHereafter, InvictusJ. Edgar

    Libellés : , ,

    vendredi, août 01, 2025

    BATTLE ROYALE (KINJI FUKUSAKU)

    Après vous avoir parlé de Black Rain, tourné au Japon par Ridley Scott (1989), je vais maintenant en venir à un film de ce pays, intitulé Battle Royale (2000), quasiment le dernier Opus de Kinji Fukusaku (1930-2003), déjà très célèbre en Orient, mais devenu subitement incontournable en Occident, remportant au moins cinq fois la mise initiale - d'environ 5 millions de dollars !

    Au départ basé sur un roman de Kôshun Takami (1999), également promis à un grand succès, cette œuvre appartient à l'espèce rarissime de films inclassables, dont j'ai fait quelques expériences ici (notamment avec Being John Malkovich). Inutile de dire que Kinji Fukusaku a nettement influencé Takeshi Kitano, John Woo et Quentin Tarantino, j'y reviendrai plus tard... Pour l'heure, démarrons déjà avec la marque principale, Tôei Company, l'une des plus grosses entreprises de distribution de films dans ce pays :

    Il faut le dire, ça a l'air de commencer très bien, avec cette vue sur l'océan accompagnée du sublime Requiem de Verdi... Mais cela ne va durer que le générique, et nous sommes immédiatement entraînés vers une vidéo bien moins plaisante, où s'exprime la précédente (et unique) vainqueuse de Battle Royale il y a quelques années :
    Nous sommes donc confrontés à cette expérience unique, Battle Royale (une bataille rassemblant quarante lycéens tirés au sort, ayant lieu une fois par an), et à son grand chef, Takeshi Kitano, pour une fois simplement acteur... Mais il a dû remplacer Kinji Fukusaku, gravement malade, pour le tournage de Violent Cop en 1989, ce qui lui donnera accès à la réalisation, avec le grand succès que l'on connaît :
    Ces étudiants de terminale ont l'air pour l'instant très rassurés, dans ce bus qui les emmène sur leur lieu de concours :
    Mais il va en aller autrement, lorsque les 40 élèves réunis apprendront qu'un seul d'entre eux devra survivre à ce processus de trois jours, ce qui est explicité par une vidéo en apparence très sympathique :
    Il leur suffira de mémoriser trois règles très simples... 1) D'une part, en suivant l'heure très précisément donnée, ne pas se rendre sur certaines zones clarifiées d'avance : 
    2) Ne surtout pas essayer d'enlever  le collier explosif dont chacun est désormais pourvu... Sinon, cela débouchera uniquement sur ceci, dont le chef Takeshi Kitano a été obligé de recourir sur Yoshitoku Kuninobu, l'un des deux premiers élèves disparus :
    3) Enfin, chacun des élèves sera pourvu d'une arme aléatoire, disponible dans le sac de survie qui leur est livré, et qui peut aller du révolver à une arbalète ou une simple paire de jumelles :
    Ce qui est une fois de plus rappelé par la fille enthousiaste de la vidéo, qui a profité d'une très pratique hache :
    Peut-on savoir le sens de tout cela ? En fait, dans un futur débordant de montée de violence et de rébellion chez les jeunes, les adultes ont définitivement voté la loi Battle Royale, impliquant le combat d'une classe de terminale tirée au sort, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un. Et comme le dit Takeshi Kitano, "La vie est un jeu" :
    En tous cas, l'introduction est terminée, et les 40 élèves sont livrés à eux-mêmes dès le premier jour sur le début de Battle Royale, dans une île déserte du Japon :
    Qui évidemment, se déroule comme prévu... Avec les premiers résultats affichés sur l'ordinateur très sophistiqué dont disposent les forces de l'ordre :
    Mais il en va différemment suivant les élèves, certains se montrant très réfléchis et intelligents, d'autres pratiquement débiles ou pervers... Sans oublier ceux qui ne veulent absolument pas jouer à ce jeu, leur seul souci étant de s'en sortir indemne :
    Désolé, je ne me rappelle plus de leurs noms... Mais ces deux-là passent un message qu'ils estiment très important à Yukiko Kitano et à Yumiko Kusaka, deux jeunes filles qui ont l'air de partager la même idée :
    Malheureusement, les deux élèves se font descendre par Kazuo Kiriyama, le "volontaire", qui fut comme par hasard réuni à la classe juste "pour s'amuser"... Incroyable, n'est-ce pas ? En tous cas, les deux restants ont bien du mal à s'en convaincre :
    Même s'il leur reste un peu d'espoir, consistant dans un travail encore mystérieux sur un ordinateur :
    Apparaît enfin la très énigmatique Takako Chigusa, réputée comme étant la plus belle élève de sa classe et une grande sprinteuse, ayant beaucoup de mal à se lier avec d'autres jeunes filles. Mais vous la connaissez forcément, non ?
    Mais si... En réalité (c'est l'une des rares fois où je livre ce détail), elle s'appelle Chiaki Kuriyama, et interprétera en 2003 la sadique Gogo Yubari dans le très célèbre Kill Bill de Quentin Tarantino : 
    Comme quoi, ce n'est pas rien, que Tarantino ait déclaré en 2009 que Battle Royale était son film favori ! Toujours est-il que dans cet Opus, la jeune Takako Chigusa résiste comme elle le peut aux avances perverses de Kazushi Niida, qu'elle finit par abattre de ses propres mains, avant d'y passer à son tour :
    En résumé, la première journée se termine donc avec 20 morts... Ce qui semble un peu léger aux yeux de Takeshi Kitano, qui ne peut s'empêcher de le rappeler à l'ébauche du second jour :
    Journée où se prépare quelque chose d'inédit, une véritable bombe, ce qu'un nommé Shinji Mimura s'empresse de mettre en place avec l'aide de deux amis, Keita Iijima et Yutaka Seto :
    Pendant ce temps, c'est malheureusement la plus grande confusion qui règne au sein d'une équipe de filles veillant sur Shûya Nanahara : une assiette destinée à l'empoisonner est livrée par erreur à Yuka Nakagawa, ce qui la tue instantanément. Dans la panique, Satomi Noda s'empare d'un pistolet-mitrailleur, et tue Chisato Matsui, Haruka Tanizawa, en blessant au passage Yukie Utsumi :
    Laquelle, se sentant coupable, prononce cette phrase symbolique, avant de se suicider en sautant du haut du phare :
    En revanche, le plan de l'ordinateur marche très bien, puisque l'armée devient d'un seul coup incapable de contrôler quoi que ce soit, qu'il s'agisse des lieux interdits à certaines heures, ou encore de l'explosion éventuelle des colliers de chacun :
    Ce qui laisse tout le temps à Shinji Mimura, Yutaka Seto et Keita Iijima pour terminer à temps la fameuse bombe, qu'ils sont sur le point de balancer sur l'école : 
    Hélas, le "volontaire" Kazuo Kiriyama se trouve au même moment sur les lieux, et bien que la bombe finisse tout de même par exploser, il va réussir à tuer tout à la fois Yutaka Seto, Keita Iijima et Shinji Mimura :
    Résultat presque final ? Il ne reste que trois êtres vivants : Shûya Nanahara, relativement blessé, la jeune fille Noriko Nakagawa, et le principal d'entre eux, Shôgo Kawada... Il est temps de se rappeler que ce dernier, tout comme le "volontaire" Kazuo Kiriyama, faisait également partie des deux sélectionnés en plus pour s'intégrer à l'équipe de façon arbitraire :
    Il a d'ailleurs déjà participé à Battle Royale trois ans plus tôt, et ne vise qu'une chose évidente : être le dernier et le seul survivant... Shôgo Kawada va donc en finir très rapidement avec les deux derniers, même si cet acte a beaucoup de mal à être compris par ceux qui regarde le film pour la première fois :
    Et du reste, pour cause... Puisque cette exécution n'a été qu'une simple feinte, destinée à se rapprocher tous les trois du grand chef de cette mission aberrante, Takeshi Kitano :
    Lequel ne peut s'empêcher de déclarer son sentiment à l'égard de Noriko Nakagawa - que celui-ci soit vraiment réel, ou juste imaginé par la jeune fille :
    En tous cas, il est abattu par cette dernière, cette fois-ci de façon définitive - du moins, on l'espère :
    Shûya Nanahara, Noriko Nakagawa et Shôgo Kawada s'en estiment pour le moins bien contents :
    On voit comme ultime tableau celui de la jeune fille triomphant de tous les autres morts, peint au dernier moment par le grand chef Takeshi Kitano - bien qu'il s'agisse d'une vraie toile de Takeshi Kitano (désolé, mais son nom d'acteur est pour une fois le même que son nom réel) :
    Malheureusement, Shôgo Kawada décède peu de temps après, suite à sa fatigue et à ses blessures... Résultat : il ne reste que Shûya Nanahara et Noriko Nakagawa, éperdument amoureux l'un de l'autre, et marchant cette fois-ci dans un Japon civilisé, entourés de nombreuses personnes inoffensives :
    Ceci veut-il dire qu'il est légal d'être deux personnes à gagner Battle Royale ? Sûrement pas, comme le montre ce dernier plan :
    Ce que j'en pense ne vous intéressera certainement pas, mais je tiens tout de même à le dire : ce film nécessite au moins deux visions, ne serait-ce que pour s'adapter d'une part à ses nombreux personnages, à leur façon très particulière de fonctionner, et d'autre part pour bien faire la différence entre sa réalisation en apparence très sérieuse - laquelle lui a valu l'enthousiasme délirant de tous les jeunes de l'époque -, et sa conception par contre beaucoup plus à double tranchant, carrément humoristique par moment, et digne de l'âge très avancé de Kinji Fukusaku, dont c'était le dernier Opus à 70 ans.
    Si vous ne l'avez pas encore vu, je n'ai hélas pas trouvé de bonnes vidéos... Mais vous en avez un très bon résumé dans ce trailer :
    Ai-je parlé de la musique ? Je ne crois pas... Mais je me rattrape avec Masamichi Amano, qui est non seulement un excellent compositeur, mais en outre superpose à sa très bonne musique une base classique invincible, due à Bach, Schubert, Strauss et Verdi.
    Dernière vidéo, pour ceux qui le souhaitent : une très rapide vue sur les différents acteurs, vus à la fois au moment du film, puis bien après... Ce qui prouve, mine de rien, qu'ils survivent :
    Inutile de vous dire que j'adore la dernière œuvre de Kinji Fukusaku, même si je ne la regarde pas aussi souvent qu'elle le mérite... En tous cas, j'espère que vous l'aimerez beaucoup, de même que le fameux Kill Bill de Quentin Tarantino, ou encore les films de Takeshi Kitano, tout d'abord Zatoichi, puis le tout premier, Violent Cop, et enfin les mystérieux Dolls et Sonatine. Bon courage !

    Libellés : , , , , , , , , ,